« Ecologie et Liberté » d’André Gorz le 8 avril à Bx

MNE Bx-Aquitaine, communiqué, le 6 avril 2009

UNIVERSITE POPULAIRE DE L’ENVIRONNEMENT

L’Université nomade d’Aquitaine

Le LivrEcolo du mois

Mercredi 8 avril à 20h00

Maison de la Nature et de l’Environnement

Bordeaux-Aquitaine – 3 rue de Tauzia à Bordeaux.

Animation : Chiche ! Bordeaux

Jeunes écolos alternatifs et solidaires

Ouvert à tous, entrée libre et gratuite

Organisation : Maison de la nature et de l’environnement (MNE) Bordeaux-Aquitaine https://mneaquitaine.wordpress.com/, renseignements mnebxaquitaine@aol.com 

 « L’utopie ne consiste pas, aujourd’hui, à préconiser le bien-être par la décroissance et la subversion du mode de vie actuel ; l’utopie consiste à croire que la croissance de la production sociale peut encore apporter le mieux-être, et qu’elle est matériellement possible »

Crise du capitalisme, impératif de croissance, surconsommation, tentation d’un écofascisme… les textes et analyses d’André Gorz restent d’une actualité étonnante (et un peu déprimante).

Chiche ! Bordeaux vous invite à (re)-découvrir « Ecologie et Liberté », écrit en 1977, lors du prochain « LivrEcolo du mois » de l’Université Populaire de l’Environnement.
Venez écouter et discuter de quelques extraits choisis, partager vos impressions, vos avis, vos lectures

Chiche Bordeaux ! Jeunes écolos alternatifs et solidaires

Contact : bordeaux (at) chicheweb.org

Site : www.chichebdx.free.fr

Quelques informations extraites de Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Gorz sur André Gorz et « Ecologie et Liberté »

 « André Gorz, de son vrai nom Gerhard Hirsch, né à Vienne le 9 février 1923, mort le 22 septembre 2007 à Vosnon, est un philosophe et journaliste français.

Personnalité extrêmement discrète, il est l’auteur d’une pensée qui oscille entre philosophie, théorie politique et critique sociale. Disciple de l’existentialisme de Jean-Paul Sartre, il rompt avec celui-ci après 1968, et devient l’un des principaux théoriciens de l’écologie politique. Il est co-fondateur, en 1964 du Nouvel Observateur, sous le pseudonyme de Michel Bosquet, avec Jean Daniel … »

 « … Après Écologie et liberté, sa présentation de l’écologie comme un outil de transformation sociale radicale et frontale du capitalisme reflète une conception nettement plus anticapitaliste. Mettant l’accent sur la relation intrinsèque entre productivisme, totalitarisme et logique de profit, il affirme notamment un lien structurel entre crise écologique et crise capitaliste de suraccumulation. Il appelle alors à une « révolution écologique, sociale et culturelle qui abolisse les contraintes du capitalisme [8]». Mais il aspire aussi à réconcilier ce projet écologiste avec l’utopie socialiste d’une abolition du salariat … »

 

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